Du fait des sanctions imposées à la Russie, et de celles de la Russie en retour, l’’Union Européenne + la Suisse – pourrait perdre 80 milliards d’euros de richesses produites et mettre en péril 1,9 million d’emplois, si la situation observée au premier trimestre 2015 perdure , que le chômage reste élevé et la demande faible.
Cependant la baisse des importations en Russie peut être est due aussi aux difficultés économiques comme la chute du prix du pétrole et le décrochage du rouble. La distinction est difficile à établir.
C’est en Allemagne que les sanctions russes seraient le plus dévastateurs. Elle pourrait perdre, du fait des sanctions imposées à la Russie, près de 27 milliards d’€, un peu plus de 1 % du PIB. 500.000 emplois seraient menacés à terme. Les économies de la France, de l’Espagne, de l’Italie, de la Pologne, et de l’Estonie seraient impactées .
Au premier trimestre 2015, les exportations françaises vers la Russie ont baissé de 33,6 % par rapprot au 1er trimestre 2014 Impact négatif aussi sur le tourisme : le nombre de nuitées de touristes russes à Paris l’hiver dernier, a chulé de 27 %, par rapport à la saison hivernale précédente. La France pourrait voir son PIB amputé de 0,5 % et perdre quelque 150.000 emplois .
Le secteur agro-alimentaire perdrait 265.000 emplois & le commerce 225.000 emplois.
source : institut autrichien Wifo, Eurostat , FMI